LES ETRANGES GRAFFITIS DE "GRIS" VUS EN GEORGIE

Entre septembre et novembre, j'ai effectué un voyage professionnel en Géorgie.  Et j'ai aperçu cette série de graffitis qui m'a beaucoup interpellé. J'explique pourquoi ci-dessous, mais aussi pourquoi cela m'est apparu comme crucial dans le cadre de la crise actuelle.   

1 - Tout a commencé par ce panneau étrange, aperçu au bord de la route, entre Tbilissi et Telavi, et qui explique que "d'après les ufologues, la zone la plus active de Géorgie où l'on trouve des aliens est la foret de Gombori". Je suis le seul voyageur sur 5 à le remarquer, au niveau du col de Gombori (j'ai vérifié par la suite qu'il y a en effet des récits étranges de rencontres avec des aliens dans le coin). Un peu plus loin, au milieu de nulle part, je devais apercevoir au bord de la route, de la voiture, un premier graffiti de Gris, jamais pris en photo.

2 et 3 - Arrivé dans la ville de Telavi, je trouvai ces deux graffitis dans la même rue, à quelques 200 mètres de mon hôtel. Ils avaient le même design que celui aperçu au bord de la route.

4 et 5 - Collée à la fenêtre de ma chambre d'hôtel, je remarque une mante religieuse. J'ai l'impression qu'elle m'observe. Je me décale pour prendre une autre photo et constater que sa tête suit mon mouvement. C'est la première fois de ma vie que je prends une mante religieuse en photo. C'est seulement après avoir entendu l'interview de Patrick Lecoq que je réalise la symbolique de cette étrange rencontre.

6 - A quelques dizaines de mètres de mon second hôtel, nouveau graffiti.

7 - En chemin vers Tbilissi, je remarque ce nouveau graffiti le long de la route, en bordure de la forêt de Gombori. Une série énigmatique de 7 chiffres apparait dans laquelle figure mon numéro fétiche, le 21, qui me suit depuis mon éveil spirituel en 2008.

8, 9, 10 - Dans un endroit improbable, derrière la façade d'un immeuble de la rue principale, je trouve une série de 3 graffitis de Gris. Je ne réalise pas sur le coup que le graphisme est différent des autres, mais je suis interloqué d'abord par le fait que « Gris » soit explicitement écrit en français (photo 8). Qui parle le français dans ce pays, mis à part sa présidente ? Certes, il y a quelques touristes français, mais les touristes ne font pas des tags à la peinture, qui plus est à 3 mètre de hauteur. Combien de gens parlant français s'intéressent aux ETs dans cette petite ville de 18 000 habitants ? L'hypothèse saugrenue que cette série de graffitis ait été créée pour moi apparait dans mon esprit. 

Le troisième tag (photo 10), qui montre une tête de Gris, deux séries de symboles mystérieux, encadrées par des flèches inversées, puis ce qui ressemble à une tête d'humain, m'interpelle aussi beaucoup. Je fais vérifier par une Géorgienne que les signes énigmatiques ne correspondent à rien dans leur alphabet. En guise d'hypothèse pour expliquer ce tableau si étrange, me vient l'intuition que cela pourrait symboliser l'hybridation entre humain et Gris et le remplacement à terme des premiers par ces derniers modifiés (les flèches inversées sont ce qui me fait penser à ce remplacement, et les séries de symboles font penser à des formules chimiques, du style H20). En effet, Richard Dolan explique bien dans son livre « The Alien Agendas », que la grande majorité des récits d'abduction font état d'un projet d'hybridation entre ETs et humains, les nouveaux hybrides (appelés « hubrids ») seraient appelés à devenir la nouvelle espèce intelligente à peupler la Terre. Le livre de Dolan fut publié en décembre 2020 et j'avais fini de lire juste avant de venir en Géorgie. Avant Dolan, le psychiatre John E. Mack avait déjà écrit sur le même sujet et je lisais en parallèle son deuxième livre sur le sujet des abductions « Passport to the Cosmos ».

Alors que j'écrivais ces lignes, je me suis demandé si j'avais terminé la lecture de ce dernier ouvrage. Je devais le retrouver sur ma table de chevet, au milieu de trois ou 4 autres bouquins. Je m'étais arrêté à la page 157. Et là, je découvre le premier paragraphe que je n'avais pas encore lu et qui s'intitule : « teaching through symbols », qui commence par ces lignes « Abductees frequently report that they see or are shown strange writings in the ships, which they assume represents a symbology of some sort that they do not comprehend » ; Et là, je fais « whaouh ! Quelle synchronicité ! » C'est quasiment une preuve irréfutable que je suis guidé dans ces découvertes.

11 - Un autre graffiti de deux gris, toujours à Telavi.

12 et 13 - De retour à Tbilissi, alors que je n'ai pu avoir de billet de retour pour le 7 novembre, je dispose d'une journée de plus pour visiter la ville. Alors que j'avais prévu de passer la rivière à un certain pont, je m'aperçois que j'avais dérivé en chemin de manière inexpliquée, alors que je me vante habituellement d'avoir un bon sens de l'orientation. Je suis allé un pont trop loin. Je longe donc la rivière pour me retrouver au niveau du pont initialement prévu afin d'aller ensuite vers la grande cathédrale, sauf que je m'aperçois qu'il n'y a pas de passage piétons pour traverser la large route qui longue la rivière, un peu comme l'ancienne voix express sur les quais de Seine. Il y a beaucoup de voitures qui passent et assez vite. Pour traverser à un passage sûr, il me faudrait marcher bien 500 mètres dans un sens ou dans un autre. Je décide de tenter ma chance en traversant en deux fois. C'est un peu osé, mais la visibilité est bonne. Une fois arrivé de l'autre côté de cette voix express après cette traversée à un endroit bien improbable, je regarde en face de moi et je découvre encore la même tête de gris vu partout à Télavi et autour de la forêt de Gombori, et pour la première fois à Tbilissi. Mais ce n'est pas tout. Comme pour confirmer que c'est bien un symbole pour moi, il y a tagué juste à côté, mon numéro fétiche, le 21. Si j'avais traversé la rivière au pont prévu, j'aurais loupé ce symbole. Je crois à nouveau y avoir été guidé.

14 - En recherchant des articles sur des apparitions d'OVNI en Géorgie, je suis tombé sur cette magnifique photo sur laquelle j'ai pu reconnaitre le point exact où j'ai vu le graffiti. Du coup, j'y ai indiqué mon parcours, pour démontrer que je l'aurais jamais vu si je ne m'étais pas étrangement égaré.

MON ANALYSE

Pourquoi le graffiti de la photo numéro 10 me parait si important ?

C'est que, outres les ouvrages de Dolan et Mack cités plus haut, l'information qui résonne particulièrement avec la crise actuelle est venue du médium français Monique Mathieu, dans un message daté du 24 juillet 2021 disponible sur son blog. Après avoir plusieurs fois fait passer le message d'une immense manipulation autour du Covid et notamment sur le fait que la vaccination n'était pas pour notre bien, voilà que ce message allait au fond de choses, évoquant un agenda ET derrière une véritable tentative de dépopulation radicale.

« Le désir de certains êtres non-humains était de s'approprier totalement la planète Terre en éliminant, en éradiquant tout ce qui vit, c'est-à-dire les humains essentiellement, mais pas seulement ! Même le règne végétal ne leur convient pas !

Donc ces êtres voudraient modifier la planète Terre à leur convenance. Donc ceux qui se croient tout puissants et qui, en définitive, ne le sont pas, manipulent encore et encore la fragilité des êtres humains. »

Mais il y a aussi le positif dans le message :

« Croyez-vous sincèrement que l'Univers, que l'immense Amour de vos Frères de Lumière, l'immense Amour de Dieu Père Mère, puissent accepter que la population terrestre soit totalement anéantie ? ( ...)

Il arrivera donc un moment où tout cela va stopper, et cela va stopper d'un seul coup par la volonté de la Lumière, et tout simplement parce que les temps sont là !

Dieu Père-Mère ne souhaite pas la mort de huit milliards d'êtres humains ! C'est (La Terre) une école magnifique et elle doit être protégée jusqu'à ce qu'elle devienne un joyau qui ne sera plus une école, mais qui sera un lieu magnifique où les âmes en incarnation pourront se reposer et grandir dans la beauté. »

https://ducielalaterre.org/le-passage-ne-sera-pas-tres-difficile/fr/